Je n’ai jamais osé parler de mon vécu par honte, par culpabilité et aussi pour protéger ma famille. Lors d’une séance, Paméla me prévient qu’elle s’approche de moi et de mon bras. Elle me demande également mon consentement. J’ai fondu en larmes, c’était la première fois que l’on me demandait mon autorisation, la prise en compte de parole. J’ai alors osé, pour la première fois, raconté mon vécu à Paméla car je sentais qu’elle m’écouterait, qu’elle ne me jugerait pas. Au fur et à mesure, j’ai pris confiance en moi, j’ai compris que je n’étais pas coupable et j’ai osé le verbaliser à ma famille. Quelle libération, merci Paméla pour tout ce que vous faites pour toutes ces femmes et ce que vous m’avez permis d’accomplir.